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11 juillet 2010 7 11 /07 /juillet /2010 15:40

 

  Les folliculaires du torche cul virtuel prétendument laïque et fanatiquement xénophobe -Riposte (faussement) laïque - avaient relayé l’appel d’une certaine Sylvie François (sans doute née Desouche), habitante de la Goutte d’or et appelant à un apéro géant sauciflard-pinard !

 

« Notre collaborateur Roger Heurtebise est entré en contact avec elle, et nous a obtenu [une] interview.

 

Sylvie annonce donc qu’elle appelle à un apéro géant saucisson-pinard, rue Myrha, le vendredi 18 juin (quel symbole !) à 19 heures. Nous ne doutons pas que nombre de lecteurs, à la vue de l’heure, vont exprimer une frustration. Pourquoi 19 heures, et pas pendant les prières ? […] Certes, les prieurs musulmans ont des disponibilités le vendredi après-midi, mais la majorité des citoyens de ce pays travaille, quand d’autres prient. Nous préférons donc qu’il y ait davantage de monde, que cela soit festif, dans l’esprit de la meilleure tradition gauloise (sic), et c’est pourquoi nous approuvons ce choix. »

 

"Sommes-nous encore en France à La Goutte d’Or?" lançait-elle dans cette interview. Sylvie François se présentait comme "originaire de la Goutte d'or", "habitante du quartier de père en fille depuis des générations", et se plaignait de voir dans le XVIIIe arrondissement de Paris une "déferlante musulmane", "en train d'imposer la prohibition islamique des produits de nos terroirs, parce qu’ils ne sont pas conformes à je ne sais quelle règle religieuse!".

 

Mais en fait, cette Sylvie, s’appelle Véronique T. et habite… en Alsace… un peu loin de la Goutte d’Or. Une sorte de Léo Taxil féminine ? Hélas non, car son passé d’extrême-droite laisse à penser que le canular ne relevait pas de la gauloiserie, mais de la xénophobie.

 

Mais  le nommé Heurtebise* a donc rencontré et interviewé une Sylvie François qui… n’existe pas !

 

Pinardsauciflard

 

 

Moins fort dans le canular, j’ai cependant profité de l’envoi d’une invitation à cet apéro envoyée à l’adresse d’un site associatif maintenant arrêté (le site, pas l’association, mais l’adéle continue de recevoir quelques courriels), pour signifier que cette invitation n’était pas, mais pas du tout bienvenue. Marrade, dans cet échange (en rouge foncé, mon texte ; en bleu, le leur) :

cochon« 

- Prière de ne plus envoyer vos dégueulis racistes. Merci ».

-  Cela c'est facile : dégueulis racistes ! Aucun argument, une saloperie balancée, comme cela, gratuitement. Et cela se prétend […] ! Cela fait peur 

Ce qui fait peur c'est votre imbécillité constante et agressive ! Quel argument opposer à votre RACISME affiché : cette saloperie a été organisée par des "identitaires" qui, eux au moins, ne salissent pas le beau nom de Laïque ! Si vous n'avez pas encore compris : évitez de salir notre BALE (boîte à lettres électroniques) de vos dégueulis racistes ! Dans l'espoir de ne plus vous lire : MERCI ! »

- Mais au-delà d'éructer, avez-vous trouvé un texte raciste* dans RL ? Nous avons promis un resto au premier qui nous en met sous les yeux. Vous n'en trouverez pas, mais c'est tellement confortable d'insulter RL, de nous traiter de racistes, pour mieux justifier votre lâcheté face au vrai fascisme du 21e siècle. Vous êtes un petit flic de la pensée. 

- Toujours aussi CONS ! Arrêtez de nous baver votre racisme suintant : se rallier à cette initiative des SOUCHIAIS est une preuve suffisante de votre racisme sournois ! TER épargnez-nous vos sanies !

-  Heureusement que dans les années 40, nos grands-pères étaient moins cons que des doctrinaires comme vous. Je confirme que vous êtes un petit khmer, comme j'en ai fréquenté beaucoup dans les milieux syndicaux. Et votre ton haineux ne m'impressionne pas. 

- Décidément les imbéciles racistes salissent le beau mot de RESISTANCE ! Et en plus, en pleine confusion mentale, ils mélangent tout : 40 et les Khmers ! [...]»

 

Le dernier message de ces fanatiques – que je n’ai malheureusement pas retrouvé -fut du style « TARTAGUEULEALARECRE »… (l'interlocuteur est resté anonyme).

 

La plaisanterie avait assez duré.

 

A titre privé j’ai eu affaire à ces hystérico-ex-trotskos , ils sont du style persévéro-hargneux. Je savais donc que, par une réponse un peu musclée (et néanmoins justifiée : en tant que responsable de l’ex-site, je savais bien que jamais, il n’y avait eu demande d’abonnement  à leur feuille de choux xénophobe pour cette adéle), la réaction imbécile ne se ferait pas attendre.

Je n’ai donc pas été surpris.

 

Mais dans la jobardise, très forts ! Une fantomatique habitante de la Goutte d’Or dont ils réussissent à faire l’interview. Et la totale incapacité à ne pas admettre que leurs messages agressent ceux qui ne les ont pas demandés.

Chetiente2

 

* Sauf erreur, le nommé Heurtebise, celui qui interviewe quelqu’un qui n’existe pas, avait attaqué une décision de la HALDE qui était sa bête noire. Il l’accusait de xénophilie !

En résumé, la Halde avait fait un rappel à la loi à une banque ; celle-ci exigeait d’un étranger non communautaire un titre de séjour pour retirer de l’argent de son compte, ce qui était illégal. Notre Heurtebise déchaîné, contre cette « officine française payée par les contribuables français », l’accusait « d'un véritable procès d'intention « raciste » alors que les banques ont tout de même le droit contractuel fondamental d'accepter ou de refuser tel ou tel client (tout comme les assureurs ou les bailleurs) » (notons au passage la conception plus qu’ultra-libérale du Monsieur qui invente le « droit contractuel » d’agir à la tête du client !). La technique classique de l'amalgame est évidemment employée : « Si on suit les thèses de la HALDE, la police n'aurait plus à contrôler les étrangers en situation irrégulière ». (Il ne s’agit pas de police, mais d’une banque, faut-il le rappeler ?) Et ça devient franchement puant quand la HALDE est accusée d'outrepasser ses missions pour prêter ses services à un combat idéologique et raciste cher aux islamogauchistes, accusée aussi d'une curieuse connivence entre [elle] et ceux qui traitent les Français de « souchiens** » - ou « sous-chiens ».

Or, quand on lit la décision de la Halde, il n’est indiqué que le fait que la personne discriminée est d’origine non communautaire : le client peut être étatsunien, russe, australien, chinois ; il peut être évangéliste, orthodoxe, boudhiste, agnostique ou athée.

Tout cela révèle le délire raciste de M. Heurtebise !

 

** Je préfère "souchiais"

 

PS1 Ceci dit un saucisson au sel de Guérande, arrosé d'un petit Champigny - un peu frais, vue la t° ambiante - que oui, mais pas avec n'importe qui !

 

PS2 Presque 5 ans après (08/04/15), je reçois encore une saloperie de ces pegidistes gaulois, ce qui m'amène à protester et donc à recevoir encore et encore des insultes niaises d'un anonyme courageux. Bis repetitat mais pas placent du tout !

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22 janvier 2008 2 22 /01 /janvier /2008 16:46

Un collègue et néanmoins ami, à moins que ce soit l’inverse, nouvellement nommé dans un collège ZEP décrit une situation très inquiétante : inscriptions odieuses visant une collaboratrice, cailliassage des logements de fonction, début d’incendie de nuit dans le collège, ce qui démontre qu’après des années de rodomontades de l’ex-ministre de l’intérieur, la situation loin de s’améliorer, se dégrade encore.

 

Implicitement, il met cette montée de la violence en parallèle avec une montée de l’ "islamisme" : maman maintenant voilée alors qu’elle ne l’était pas, demande de viande hallal, réaction de bigotisme musulman d’une élève, tag « vive l’Algérie et le Maroc » (l’union de ces deux pays dans la même inscription ne reflète pas la franche inimitié qui les unit !). Ce qui montrerait, que contrairement à ce que semble croire notre chanoine de Latran, la montée de l’emprise du religieux n’est pas synonyme d’apaisement, pour autant que les deux phénomènes soient corrélés.

Un autre ami et néanmoins collègue, lui aussi en ZEP, constate que le trafic de substances interdites est plus garant de la tranquillité du quartier. L’opium du peuple est moins efficace que les marchands d’opium (bien sûr, il s’agit plutôt de shit ou de coke).

 

Trouvé sur un site de droite extrême (à noter que la photo a été pillée sur un ancien site d'Education & devenir, prise à Lille en 2003 par votre servieteur)

 

Le 1er invitait à une relecture du « rapport Obin ». Dans ma réponse – bien qu’il se défendait de généraliser, c’était, de mon point de vue, le sens général de son message et de cette référence – je lui disais assez banalement : ton expérience - et tu le sais, venant comme tu dis, d'un établissement dans un contexte plus serein - ne décrit pas obligatoirement la réalité, tout aussi difficile mais autre, que certains peuvent vivre dans d'autres ZEP.

Ce que confirmait son collègue qui lui se trouve face au conflit entre enseignants qui veulent enseigner et élèves qui ne veulent ou ne peuvent faire les efforts demandés et affronte donc de nombreuses difficultés de vie scolaire.

 

Puisque le rapport Obin était cité, je rappelais que, d’entrée, il y était indiqué qu’il n’avait pas valeur de sondage scientifique, même si son auteur a eu tendance à oublier cette précaution méthodologique*.

 

Quelle politique de civilisations ?

Etait cité aussi une opinion de Samir Naïr, dans Libé (http://www.liberation.fr/rebonds/304626.FR.php) Quelle politique de civilisations ? qui était supposée me faire hurler. Je répondais donc que certes, en filigrane, on pouvait retrouver des thémes propres aux soi-disant Rrrrrrépublicains (« un rôle accru de l’Etat en tant que vecteur du bien-être collectif » comme si les autres collectivités territoriales, sous réserve d’un système de péréquation, ne pouvaient aussi être ces «vecteurs », mais tu le vois, tu me pousses à chercher la petite bête). Remplacer la très mauvaise traduction d’affirmative action, cette discrimination positive, par redistributions ciblées non pas sectorielles mais vers les banlieues stigmatisées, les quartiers marginalisés ou les zones urbaine abandonnées pourquoi hurler ?

Puis-je avouer que cette idée d’un espace public laïc, qui respecte croyants et non-croyants, constituant l’horizon indépassable de la liberté de conscience est d’une généralité telle que je ne vois là rien qui puisse me faire sortir de mes gonds ?

Mais le fait même que ce point de vue soit supposé me faire bondir démontrait un sérieux malentendu sur ce que j’ai pu commettre sur la laïcité.

 

Laissons de côté, la conception des soi-disant rrrépublicains qui, dans un amalgame qui ressemble à de la bouillie pour les chats, récusent le droit à se réclamer de la laïcité si, par exemple, on n’est pas noniste. Ce n’est plus de laïcité qu’il s’agit, mais de sectarisme.

En revanche, la distinction entre public (« espace public laïc » écrit Sami Naïr) et privé (domaine des convictions religieuses et/ou philosophiques), que j’ai récusée, en m’appuyant notamment sur la Loi de 1905 et les débats qui l’accompagnèrent, a peut-être été la cause de ce malentendu.

 

une-marianne.jpg

Entre deux trains, je me suis laissé attirer par la couverture de Marianne (hebdo que je ne prise guère : le centrisme imprécateur de son fondateur me hérissant, sans parler de la dame Polony, plus Brighellienne que Brighelli).

Dans un long article sur le discours du chanoine de Latran (discours qui date du 20 décembre, l’article du 19 janvier), je suis tombé sur un encadré « Propos blessants » de Catherine Kintzler**. Il permet de bien éclaircir cette question en distinguant la puissance publique et l’espace civil. « La loi, la puissance publique, les affaires politiques sont disjointes de toute croyance et de toute incroyance […] en conséquence la puissance publique s’oblige à un devoir d’abstention. C’est précisément en vertu de cette abstention […] que, partout ailleurs dans la société civile, les opinions, les croyances et incroyances sont libres » dans le respect de la loi.

 

Je n’échapperais pas, cependant, à une lecture symptomale, comme disait le camarade J. Julliard, à laquelle je dois sans doute aussi me livrer. Nobody is perfect !

 

* "Un commentaire méthodologique s’impose ici. Le panel d’établissements visités ne constitue donc en aucun cas un échantillon représentatif des établissements français, ni sur le plan de l’étude ni d’ailleurs sur aucun autre. […]

Cette étude ne peut donc prêter à généralisation et à dramatisation excessive : les phénomènes observés l’ont été dans un petit nombre d’établissements. Pour autant, les établissements visités constituent sans doute un panel assez représentatif de cette marge particulièrement active du système éducatif quant à l’objet de notre étude : ce sont le plus souvent des collèges, lycées et lycées professionnels qui recrutent la totalité ou une partie significative de leurs élèves dans des quartiers dont la « ghettoïsation » est largement entamée, voire achevée ; ce qui s’y joue, insistons-y, ne peut donc être généralisé." (page 6)

** Cette distinction ne règle évidemment pas tout car il faut savoir où se situe la "frontière" puissance publique/espace civil : en témoigne la nouvelle pseudo affaire du voile (Sus à la halde)

 

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10 décembre 2007 1 10 /12 /décembre /2007 17:34

Un ami se référant à un « rebond » de Libé du 10/12/07, intitulé « Laïcité : l’école et les enfants d’abord ! »* pose la question : à mettre en débat au sein de notre association ?

 

Foultitude de signatures où LICRA et Grand Orient côtoient le SIEN (Syndicat des Inspecteurs de l’EN)  et le SNPDEN (Syndicat des personnels de direction) mais aussi un Mouvement pour l’abolition de la prostitution et de la pornographie aux buts finalement inquiètants (la pornographie, c’est l’érotisme des autres) et une UFAL qui a parti lié avec les anti-pédagos de tout poil…

 

 

Sus à la HALDE (haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité) donc qui a jugé discriminatoire d’écarter des mères d’élèves d’une aide à l’encadrement (sorties le plus souvent) parce qu’elles portent un foulard (selon la Halde) un voile islamique (selon les signataires). Son avis ne date que du 14 mai il est donc plus qu’urgent, le 10 décembre, d’élever la plus véhémente protestation.

L’ancien chef d’établissement du Bas Poitou n’a pas été confronté au problème de mères d’élèves portant ledit foulard-voile (ou, si certaines en portaient, il ne serait venu à l’esprit de personne de le qualifier d’islamique, sous entendu islamiste). Disqualifié donc pour en discuter ? Il n’est pas sûr que la majorité des IEN et des PD du SIEN et du SNPDEN soient, beaucoup plus que je l’ai été, confrontés au problème.

 

L’argumentation de la Halde** va porter sur le statut de ces collaboratrices bénévoles. Elle rappelle que « les principes de laïcité et de neutralité des services publics s'appliquent à l'ensemble des agents publics, qu’ils soient chargés de fonctions d’enseignement ou non, mais non aux usagers. » Mais voilà que la Halde pour réfuter l’assimilation des bénévoles à des agents publics pendant leur collaboration s’appuie sur un arrêt du conseil d’état portant sur l’intervention de membres de congrégations religieuses en milieu pénitentiaire : horreur et consternation, elle assimile école et prison ! Indignation outrée qui permet de ne pas répondre sur le fond qui est que le conseil d’état refuse d’assimiler ces congréganistes à des agents publics. « Or, les parents participant aux sorties scolaires semblent être dans une situation similaire dans la mesure où ils apportent leur concours aux établissements scolaires pour des tâches qui ne relèvent pas des missions d’enseignement, au sens strict, mais uniquement à l’occasion de sorties et/ou d’activités annexes. »

Au lieu d’une contre argumentation, on a donc une affirmation que les mamans qui, pour des raisons de sécurité, vont accompagner les élèves dans une sortie quelconque « deviennent de facto des auxiliaires éducatifs au côté des enseignants qu’ils accompagnent », même si leur rôle se limite à veiller à ce qu’aucun des X gamins dont elles ont la surveillance ne disparaisse.

A partir de là d’auxiliaires éducatives  elles vont devenir agents du service public relevant de « la circulaire d’application de la loi de mars 2004 sur les signes religieux dans l’espace scolaire, publiée au Bulletin officiel de l’éducation nationale (2004-084), qui exclut explicitement toute manifestation d’appartenance religieuse par “les agents contribuant au service public de l’éducation, quels que soient leur fonction et leur statut” ».

Il est assez étonnant que le SIEN et le SNPDEN semblent ignorer qu’une circulaire n’a aucune valeur réglementaire. Le texte cité ne fait que rappeler, à l’évidence, que les principes de neutralité dans l’école ne concernent pas que les enseignants, personnels de direction et d’éducation, mais aussi les agents de service et d’intendance, etc. en bref  tous les agents publics.

Et puisqu’il est question d’enfants d’abord, peut-on rappeler que par définition ces mères ont des enfants – pas les enfants abstraits du titre, mais des gosses en chair et en os – et que voir leurs mamans écartées, ils peuvent le « ressentir », consciemment ou non,  comme vexatoire. Mais qu’est-ce que c’est que cet humanisme bêlant : il s’agit de grands principes !

 

* http://www.liberation.fr/rebonds/296856.FR.php

 

** http://www.islamlaicite.org/IMG/pdf/Deliberation_principe_de_laicite_6_juin_2007-2.pdf

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