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29 mars 2015 7 29 /03 /mars /2015 09:40

L’école sans dieu, dénoncée en 1882 par les députés catholiques, énonce dans le programme d’Instruction civique et morale les « Devoirs envers Dieu ». Ferme sur les principes mais souple dans l’application, telle est la leçon de Jules Ferry.

 

Au dernier colloque d’Education & Devenir, éducation & souvenir comme disait ironiquement un vieil adhérent, Jean-Paul Delahaye, pour illustrer le temps long souvent indispensable pour faire bouger les choses, évoqua l’instauration de l’instruction morale et civique chassant l’instruction morale et religieuse.

 

Je n’ignorais pas la souplesse dont avait fait preuve le député des Vosges s’agissant de la présence des crucifix dans les salles de classe : le ministre avait confié aux préfets le soin d’examiner chaque cas avec attention, les crucifix n’étant ôtés que lorsque cela ne soulevait pas l’hostilité des populations.

Jules Ferry : Ferme sur les principes, pragmatique dans l’application

En revanche, je dois avouer ma totale ignorance sur ce que nous a appris l’IGEN.

 

La loi de 1882 met en tête* des enseignements du primaire « L’instruction morale et civique ».

 

Et dans les devoirs - Devoirs envers les parents et les grands-parents, Devoirs des frères et sœurs, Devoirs envers les serviteurs (sic), Devoirs envers l'instituteur, Devoirs envers les camarades, Devoirs envers la patrie et la société, etc.** – il y a les Devoirs envers Dieu !

 

L'instituteur n'est pas chargé de faire un cours ex professo sur la nature et les attributs de Dieu ; l'enseignement qu'il doit donner à tous indistinctement se borne à deux points :

 

D'abord, il leur apprend à ne pas prononcer légèrement le nom de Dieu ; il associe étroitement dans leur esprit à l'idée de la cause première et de l'être parfait un sentiment de respect et de vénération ; et il habitue chacun d'eux à environner du même respect cette notion de Dieu, alors même qu'elle se présenterait à lui sous des formes différentes de celles de sa propre religion.

Ensuite, et sans s'occuper des prescriptions spéciales aux diverses communions, l'instituteur s'attache à faire comprendre et sentir à l'enfant que le premier hommage qu'il doit à la divinité, c'est l'obéissance aux lois de Dieu telles que les lui révèlent sa conscience et sa raison.

 

Tout cela avait fait plus que débat au sein des loges du Grand Orient. Esprit-Eugène Hubert, un proche de Jules Simon y déclarait: « L’enseignement laïque, c’est l’État enseignant. Ce n’est point dire que l’idée de Dieu doive être écartée de cet enseignement, car il n’y a pas d’enseignement sans des leçons de morale ; or, il n’y a pas de morale qui puisse se tenir sur ses jambes sans l’aide de la proclamation et de la reconnaissance d’un principe immatériel supérieur. Toute morale ou toute prétendue morale qui veut venir de la terre et mourir sur la terre est un leurre ou quelque chose de plus terrible dont ce siècle a donné des exemples si néfastes et si lamentables : la force prime le droit ». C’est exactement cette position que défendra Jules Simon, contre Jules Ferry.

 

  En introduction aux instructions sur cet instruction civique et morale, un philosophe affirmait : « « ceux qui voudraient retrancher de l'enseignement toute idée religieuse, même naturelle, ne voient-ils pas qu'ils entrent par là dans la pensée même de leurs adversaires? Car la doctrine de ceux-ci est précisément que l'Etat est incompétent dans le domaine purement spirituel et dans tout ce qui concerne les âmes : c'est pourquoi ils lui dénient le droit d'enseigner même la morale. Si l'Etat se laisse déposséder du droit d'enseigner les idées religieuses dans ce qu'elles ont de général, d'humain, de naturel, il abandonne par là même une partie, et la plus haute, de ce domaine spirituel qu'on lui refuse ; c'est une force qu'il laisse entre les mains de ses adversaires en attendant que, de progrès en progrès, et sous prétexte de neutralité, on lui interdise d'enseigner le devoir, la famille, la propriété et la patrie. D'ailleurs, sans instituer de controverses directes sur ce point, contentons-nous de demander si une séparation de la morale profane et de la morale confessionnelle n'est pas, par elle-même, une révolution assez importante ; sans vouloir encore la pousser plus loin et inquiéter la conscience et la croyance des hommes dans ce qu'elles ont de plus vénérable, de plus auguste et de plus sacré. » Paul Janet

 

La laïcisation des programmes s’est donc mise en place très progressivement puisque les « devoirs envers Dieu » ont subsisté dans les programmes d’instruction morale et civique du cours moyen jusqu’en 1923, ces « devoirs envers Dieu » seront rétablis par Pétain et définitivement supprimés en 1944.

 

Pour Jean-Paul Delahaye, Jules Ferry, positiviste, pensait que la religion allait s’éteindre d’elle-même. Et le député des Vosges savait qu’il était élu d’un peuple qui aime la République mais construit des reposoirs aux fêtes-dieu !

 

Ce pragmatisme,  c’est-à-dire cet art du compromis symbole de démocratie – celui-là même dont a fait preuve ensuite Aristide Briand amendant lui-même sa propre loi pour ne pas donner prise à l'intransigeance des cagots – est hélas difficilement de mise dans un climat de quasi guerre civile, en tout cas de guerre contre l’école de la République, qu’entretiennent les Belghoul, Bourges, de la Rochère, et autres boute-feux de la manif anti-mariage pour tous, soutenus par les UMPistes !

 

 

* A noter que les maths viennent dans un conglomérat : « Les éléments des sciences naturelles physiques et mathématiques, leurs applications à l’agriculture, à l’hygiène, aux arts industriels, travaux manuels et usage des outils des principaux métiers » bien loin de la prééminence qu’elles ont prise ensuite !

 

** A noter aussi ces devoirs à  faire bondir la plus placide des féministes : Devoirs de famille. — Rôle à la fois discret, modeste et efficace de la jeune fille dans la famille. Devoirs maternels de la soeur aînée. Devoir pour les jeunes filles de prendre part à tous les soins domestiques, non seulement sans répugnance, mais avec empressement.

 

 

Face à la surenchère anti-musulmane de Sarkozy, contre les menus de substitution, un rappel :

La première circulaire sur ces menus, adressée aux recteurs, date du 30 juillet 1957, ce n’est donc pas nouveau « Il m’a été signalé que dans certains établissements de la métropole il était parfois servi de la viande de porc aux élèves de religion musulmane. Je vous serais obligé de rappeler à MM les chefs d’établissement que le Coran interdit aux musulmans la consommation de la viande de porc, et leur demander de prévoir, les jours où cette viande figure aux menus, un autre plat de viande à l’intention de leurs élèves musulmans » Circulaire du 30 juillet 1957, B.O.E.N. n° 31 du 5 septembre 1957, p. 2595 cité par J.P. Delahaye Laïcité, enseignement et religion à l’école (Le ministre de l’époque était un radical socialiste : René Billères)

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10 décembre 2012 1 10 /12 /décembre /2012 22:44

francmac.jpg

Montage emprunté à Arrêt sur images (cliquer sur l'image, vous aurez en prime un peu de Nel Obs)

 

La presse en général et les hebdos en particulier font une culture intensive des marronniers. Certains ne fleurissent qu’à une certaine saison – ainsi la parution des indicateurs du bac par le ministère, fait fleurir les « palmarès » et les éternelles interrogations sur la mort du bac – mais d’autres sont d’une espèce robuste qui peut naître et renaître à n’importe quel moment de l’année. « Dites les gâs, nos lecteurs en ont peut-être marre du Hollande bashing et si on leur resservait à la sauce franc-maçonne ? » a dû dire le patron du Figaro. On a donc eu droit à une « Hollande : un président très entouré de francs-maçons » avec une belle infographie et un article de fond du fond « Le nouveau pouvoir des francs-maçons ».

 

Les titres sont un peu décevants. Bien loin d’un Léo Taxil, fustigeant la franc-maçonnerie luciférienne et décrivant un culte de Baphomet dans les loges et dont le chef suprême, Albert Pike, rencontrait Lucifer tous les vendredi à trois heures. Même pas à la hauteur de FOG qui dans Le Point titre sur « La main invisible » ou « Les infiltrés », voire L’Express qui nous révélait, il y a peu, comment la Franc-maçonnerie « manipulait les candidats à la présidentielle ». Eh oui, même Bayrou ?

 

francmac3.jpg  Les francs-maçons ? Ils sont partout, jusqu’au cœur de l’Etat.Ainsi démarrait un article du Point sur « Les francs-maçons de Sarkozy » où l’on apprenait que Xavier Bertrand est membre du Grand Orient, ce qui suscitera, dit-on, ce bon mot de François Fillon : « Je ne suis pas étonné de le découvrir maçon ; mais franc, cela m’en bouche un coin... ». Et, Raffarin aurait avoué : « Jamais je n’aurais pensé que les francs-maçons étaient aussi puissants ! ».  

En vedette bien sûr, Alain Bauer, ex-Grand Maître du Grand Orient passé à droite (ce qui est rare, mais le père de F. Baroin, qui fut aussi Grand Maître du GO était de droite).

Les francs-maçons, d’après Le Point, auraient des sortes de fiefs. Ainsi auraient-ils fait échouer la nomination de Francis Mer à EDF un de leurs « bastions ». Sauf qu’on nous conte ensuite la nomination comme Président de la cour de cassation - « Etat maçonnique miniature » - d’un magistrat non seulement non maçon, mais un des rares, dans ce microcosme, à détester ouvertement les francs-maçons. Mieux encore, Augustin de Romanet, nommé à la tête de la Caisse des dépôts en 2007, énarque catholique tout en rondeur, vire Dominique Marcel, le numéro deux et ex-dir cab de Martine Aubry, et supposé initié. Cette exclusion provoque un tollé écrit sans rire Le Point, mettant les protestations sur le compte de la fameuse solidarité maçonnique, alors que l’opération relève assez clairement de la chasse à la gauche. Et les deux exemples démontrent exactement le contraire de ce qu’ils sont censés illustrer : la forte influence de la maçonnerie, ou plutôt celle du GO. Car le personnel politique de droite peut compter sur des frères d’autres obédiences dites spiritualistes (et dans certains cas, notamment dans le Sud-Est, plutôt affairistes).

hollande-francs-macons.jpg

Pour Le Figaro – qui n’a pas dû lire Le Point en 2009 – « Le retour aux affaires des socialistes, après dix ans d'absence, est une excellente nouvelle pour les obédiences maçonniques, au premier rang desquelles le Grand Orient de France… ». L’infographie ne démontre pas cependant un raz-de-marée de frères alain-bauer.jpgou sœurs trois points au sommet de l’état. Mais l’insubmersible Alain Bauer y apparaît, comme ami de Valls. Des noms sont lancés de présumés francs-maçons. Des ministres démentent, Valls ne cache pas qu’il a été initié, mais a quitté le GO en 1996, faute de temps et d’intérêt. D’autres bottent en touche, ce qui est évidemment mis sur le compte du secret maçonnique. Le prix du démenti revient à Aquilino Morelle, conseiller de l’Elysée, prétendument initié au GO : «Je n'ai jamais été initié, si ce n'est par quelques jeunes femmes, il y a déjà malheureusement trop longtemps...».

 

francmac_tabliers.jpg Ce secret maçonnique autorise toutes les insinuations. «L'influence des maçons se développe de manière diffuse, par capillarité, parce qu'on retrouve beaucoup de frères dans les cabinets ministériels, les administrations et les milieux politiques», fait-on dire à Emmanuel Pierrat, un avocat initié au GO (traître à la cause ?). Et tous les poncifs ressortent : connivences nées dans les loges + solidarité obligée + secret = copinage invisible et échanges de petits services.

Sauf que si Christian Forestier, ancien recteur, directeur du cabinet de Jack Lang de 2000 à 2002, Président du Haut conseil de l'évaluation de l'école de 2003 à 2005, est resté membre du Haut Conseil à l’Education, et a accédé à la tête du Conservatoire national des arts et métiers, entre autres, il le doit certainement plus à sa compétence et à son indéniable charisme, qu’à son appartenance supposée à une obédience maçonnique.

 

Et une fois encore, la thèse d’une toute puissance maçonnique souterraine est démontée par l’article lui-même puisque la constitutionnalisation de la loi de 1905 dont le Grand Orient se voudrait le champion (d’après Le Figaro) risque de passer aux oubliettes, car elle reviendrait soit à officialiser le maintien du Concordat en Alsace-Moselle soit à déclencher les protestations des électeurs locaux. Les élections municipales de 2014 seront déjà assez compliquées comme cela pense-t-on au gouvernement.

 

Dernière image d’Epinal, le franc-maçon, bouffeur de curés. José Gulino riposte-t-il aux déclarations de M. Vingt-Trois, traitant le mariage pour tous de supercherie, en dénonçant «les positions arriérées et obscurantistes» et «les amalgames violents et haineux» du président de la Conférence des évêques de France, son communiqué est taxé d’anticlérical. Ce qui, au sens propre est juste – il dénonce la tentation constante des églises à tomber dans le cléricalisme, c’est-à-dire à vouloir imposer leurs dogmes à l’ensemble de la société – mais prend ici un ton péjoratif.

 

franc-maconnerie-symbole.gifPour le reste, on aura appris une surprenante nouvelle : la « fraternelle » parlementaire qui est censée regrouper tous les maçons du Parlement de quelque obédience qu’ils soient, comme il y a plus de députés et sénateurs de gauche, va être dirigée par un député PS du GO qui succède à un sénateur UMP de la GLNF. Est-ce que le vilain GO va poursuivre la politique d’auditions transpartisanes lancée par la gentille GLNF qui a « réveillé la fraternelle », telle est la question implicite du Figaro.

 

 

Bien que moins prolifique que L’Express et Le Point, ce n’est pas la 1ère fois que Le Figaro cultive ce marronnier. Pour meubler le magazine estival, il avait fait quelques articles didactiques en commençant par « Les secrets des francs-maçons », secrets bien éventés depuis le temps qu’on y consacre des dossiers. Là, il grille sans doute Le Point mais dans le même style de pseudos informations en partie contradictoires, de fausses révélations et de vraies insinuations.

 

 

PS Précisons que je ne suis pas initié et même, pour avoir quelque peu ironisé sur les problèmes de mixité au Grand Orient, accusé d’anti-maçonnisme pétainiste (dans ce domaine aussi le point Godwin est vite atteint).

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10 décembre 2007 1 10 /12 /décembre /2007 17:34

Un ami se référant à un « rebond » de Libé du 10/12/07, intitulé « Laïcité : l’école et les enfants d’abord ! »* pose la question : à mettre en débat au sein de notre association ?

 

Foultitude de signatures où LICRA et Grand Orient côtoient le SIEN (Syndicat des Inspecteurs de l’EN)  et le SNPDEN (Syndicat des personnels de direction) mais aussi un Mouvement pour l’abolition de la prostitution et de la pornographie aux buts finalement inquiètants (la pornographie, c’est l’érotisme des autres) et une UFAL qui a parti lié avec les anti-pédagos de tout poil…

 

 

Sus à la HALDE (haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité) donc qui a jugé discriminatoire d’écarter des mères d’élèves d’une aide à l’encadrement (sorties le plus souvent) parce qu’elles portent un foulard (selon la Halde) un voile islamique (selon les signataires). Son avis ne date que du 14 mai il est donc plus qu’urgent, le 10 décembre, d’élever la plus véhémente protestation.

L’ancien chef d’établissement du Bas Poitou n’a pas été confronté au problème de mères d’élèves portant ledit foulard-voile (ou, si certaines en portaient, il ne serait venu à l’esprit de personne de le qualifier d’islamique, sous entendu islamiste). Disqualifié donc pour en discuter ? Il n’est pas sûr que la majorité des IEN et des PD du SIEN et du SNPDEN soient, beaucoup plus que je l’ai été, confrontés au problème.

 

L’argumentation de la Halde** va porter sur le statut de ces collaboratrices bénévoles. Elle rappelle que « les principes de laïcité et de neutralité des services publics s'appliquent à l'ensemble des agents publics, qu’ils soient chargés de fonctions d’enseignement ou non, mais non aux usagers. » Mais voilà que la Halde pour réfuter l’assimilation des bénévoles à des agents publics pendant leur collaboration s’appuie sur un arrêt du conseil d’état portant sur l’intervention de membres de congrégations religieuses en milieu pénitentiaire : horreur et consternation, elle assimile école et prison ! Indignation outrée qui permet de ne pas répondre sur le fond qui est que le conseil d’état refuse d’assimiler ces congréganistes à des agents publics. « Or, les parents participant aux sorties scolaires semblent être dans une situation similaire dans la mesure où ils apportent leur concours aux établissements scolaires pour des tâches qui ne relèvent pas des missions d’enseignement, au sens strict, mais uniquement à l’occasion de sorties et/ou d’activités annexes. »

Au lieu d’une contre argumentation, on a donc une affirmation que les mamans qui, pour des raisons de sécurité, vont accompagner les élèves dans une sortie quelconque « deviennent de facto des auxiliaires éducatifs au côté des enseignants qu’ils accompagnent », même si leur rôle se limite à veiller à ce qu’aucun des X gamins dont elles ont la surveillance ne disparaisse.

A partir de là d’auxiliaires éducatives  elles vont devenir agents du service public relevant de « la circulaire d’application de la loi de mars 2004 sur les signes religieux dans l’espace scolaire, publiée au Bulletin officiel de l’éducation nationale (2004-084), qui exclut explicitement toute manifestation d’appartenance religieuse par “les agents contribuant au service public de l’éducation, quels que soient leur fonction et leur statut” ».

Il est assez étonnant que le SIEN et le SNPDEN semblent ignorer qu’une circulaire n’a aucune valeur réglementaire. Le texte cité ne fait que rappeler, à l’évidence, que les principes de neutralité dans l’école ne concernent pas que les enseignants, personnels de direction et d’éducation, mais aussi les agents de service et d’intendance, etc. en bref  tous les agents publics.

Et puisqu’il est question d’enfants d’abord, peut-on rappeler que par définition ces mères ont des enfants – pas les enfants abstraits du titre, mais des gosses en chair et en os – et que voir leurs mamans écartées, ils peuvent le « ressentir », consciemment ou non,  comme vexatoire. Mais qu’est-ce que c’est que cet humanisme bêlant : il s’agit de grands principes !

 

* http://www.liberation.fr/rebonds/296856.FR.php

 

** http://www.islamlaicite.org/IMG/pdf/Deliberation_principe_de_laicite_6_juin_2007-2.pdf

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