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21 avril 2015 2 21 /04 /avril /2015 10:47
Le cerveau lent de Pierre Laurent

Pierre Laurent exige des excuses PUBLIQUES, pieds nus, en chemise et la corde au cou ?

C’est un scandâââle ! Hollande a osé dire « Marine Le Pen  parle comme un tract du Parti communiste des années 1970 (…) sauf que le Parti communiste, il ne demandait pas qu'on chasse les étrangers, qu'on fasse la chasse aux pauvres ».

 

Eh quoi ! Les années 70 n’était-ce pas le « programme commun » clame Laurent dans son indignation ! Euh, oui… sauf que l’épisode s’est terminé par le slogan « L’union est un combat », c’est-à-dire par la reprise des attaques anti-socialistes par l’ineffable Georges Marchais dont Mélenchon est un lointain épigone.

 

"Madame Le Pen parle comme un tract du Parti communiste des années 1970. En pensant qu'on peut fermer les frontières, qu'on peut nationaliser les industries, qu'on peut sortir un certain nombre de capitaux de notre pays sans risque" Les propos présidentiels visaient donc un discours économique sommaire des années 70, en partie partagé par la majorité du PS de l’époque d’ailleurs.

 

Mais à trop vouloir jouer les pucelles froissées, Laurent amène à  faire ressurgir des propos du truculent Jojo Marchais : « Il faut stopper l'immigration officielle et clandestine ! » clamait-il le 6 janvier 1981.

Alors M’sieu Laurent, reprenez-vous ! Le Président a juste dit que Mme Le Pen emprunte une rhétorique dépassée – le PCF de 2015 n’est plus celui de 1977, non ? – pour feindre de s’occuper des « travailleurs et travailleuses », en particulier dans le Nord et Picardie. Ni plus, ni moins.

Et sur l’escroquerie intellectuelle du FHaine vous auriez pu (dû ?) abonder !

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28 mars 2012 3 28 /03 /mars /2012 21:21

Jusqu’à maintenant, sauf un « chapô » ou un commentaire final, j’ai publié les contributions de Gilbert comme elles me parvenaient.

Mais là, non ! Les divergences – pour employer un euphémisme – ne peuvent justifier, à mon sens bien sûr, des attaques personnelles outrancières et des mensonges délibérés. J’ai donc ajouté, au fil du texte quelques remarques et précisions. Le social-traître que je suis, mou comme il se doit, ne pousse cependant pas la complaisance jusqu’au masochisme.

 

I have a dream… Je crois être le seul participant au DeblogNotes à ne pas considérer Jean-Luc Mélenchon comme un velléitaire prétentieux, à côté de tant de nobles prétendants à l’Élysée. Pas haut peut-être, mais tout seul, je m’y recolle, après les « rodomontades de Méluche » signées Jean-François Launay. Ce vieil ami social-démocrate a contracté très jeune un strabisme convergent, qui a ôté de son champ de vision tout ce qui s’écarte du rocardisme primitif. Il faut aider les handicapés, même légers, et notre mot d’ordre est « solidarité ». [« strabisme », « handicapé », bien sûr, ça doit être de l’humour Front de gauche.]

 

Mélenchon n’est pas plus l’avatar de Georges Marchais que François Hollande n’est celui de Guy Mollet. Et Jérôme Cahuzac, avec sa modestie de Ministre des Finances du Lot-et-Garonne, n’est pas davantage l’épigone du génial DSK, que ses amis socialistes, si nombreux en avril 2011, encensaient avant de se barrer comme des rats quittant le Sofitel. S’il fallait un palmarès des Rodomont* de gauche (à droite, c’est fait !), on hésiterait entre le timide Manuel Valls, la douce Ségolène Royal ou la tendre Martine Aubry [un peu d’amalgame, vieille ficelle]. Mais, bon, il faut respecter ses amis de gauche, des fois qu’il y aurait des alliances entre les deux tours…

 

Qui est candidat ?

 

Traiter ses concurrents de fiers-à-bras ou de Matamores** (ignorons le sens propre du mot !) n’est pas la meilleure façon de se concilier des gens dont on pourrait avoir besoin. Au-dessus de 10 %, snober le titulaire devient de l’idiotie politique. Même à 5 %, on peut discuter… Et le camarade Hollande pourrait bien avoir besoin du Parti de Gauche, présidentielles et législatives incluses. Sinon, il devra se contenter du superbe accord avec EELV, et des scores fleuves de sa copine Éva.

Puisque le camarade Launay veut parler fric, allons-y ! Mais pas avant d’avoir rappelé que le secrétaire général du PCF, Pierre Laurent, n’est pas le candidat du Front de Gauche, alias Jean-Luc Rodomont. « Au-dessus de 30 000 €, je prends tout ! ». Qui a dit ça ? Personne ! [Sur le propre blog de J.L. Mélenchon est mis en ligne une vidéo d’un entretien dudit avec Aphatie où il dit « Il est prévu que tout ce qui sera au-dessus de 30 000 euros sera pris » et la vidéo ci-dessous dit la même chose] La référence au Georges Marchais des années 70, Rodomont authentique, et son « Au-dessus de 40 000 francs, j’prends tout ! », est donc fausse.

 

 

 

Deuxième observation préalable, je confirme que Pierre Laurent « n’est pas un orateur ». Quant à son père, méchamment cité (Qui est responsable de ses parents ?) et que j’ai personnellement connu, il avait en effet une « lente diction », mais un discours précis. [« méchamment cité » on frise le puéril, mais de fait pour le discours « précis » le fils a des progrès à faire]

 

Aphasique ou apathique ?

 

Donc, sur une mesure fiscale, Pierre Laurent se serait « emmêlé les pinceaux » à la radio. C’est vrai. Et alors ? En pleine émission « Mots Croisés » sur France 2, le vaniteux Jérôme Cahuzac se fait prendre en flag d’ignorance crasse quand Yves Calvi lui annonce la tranche au-dessus du million d’euros imposable à 75 %, que François Hollande vient de sortir de son sac sans prévenir ses copains. L’ami Launay l’a-t-il déblognoté [question stupide : lémédias, comme dit Schneidermann, ont suffisamment relevé le couac, ce qui n’est pas le cas pour Laurent] ? Tu me fais les archives, coco, et tu me sors un mémo…

Sur les taux d’imposition et la réforme fiscale, le programme du Front de Gauche indique des principes, pas des chiffres. La discussion sur les 360 000 euros annuels, par revenus individuels ou par foyer fiscal, est donc hors de propos. [c’est beau comme de l’antique : réécouter l’entretien de Laurent sur RTL permet de l’entendre – certes il n’est pas candidat, mais quand même secrétaire général du principal parti du FdG – parler des 360 000 euros, comme Mélenchon d’’ailleurs, voir plus haut, mais nier l’évidence est un vieux truc] Quant au spécialiste fiscaliste Jean-Michel Aphatie, dont la science financière s’arrête au casino de Biarritz, ses questions sont à son image : Rodomont avec les invités inexpérimentés, Sancho Pança avec ses employeurs. [aucune sympathie particulière pour Aphatie, mais ni le casino de Biarritz (?) ni ses employeurs n’ont grand-chose à voir avec une question tout-à-fait basique : part ou foyer]

Politiquement et juridiquement, cette querelle est byzantine. Une imposition à 100 % est un taux confiscatoire, et Jean-Luc Mélenchon ne l’a jamais proposé. Le lui attribuer relève donc de l’ignorance ou de la mauvaise foi. Pourquoi pas les deux ? [le mensonge délibéré poussé à ce point devient du grand art : « nous proposons de prendre tout au-dessus de 360 000 euros annuels » dit Laurent, Mélenchon promet à Ferrari de lui prendre 760 000 euros et il n’aurait jamais proposé un taux d’imposition à 100 % ?]

Enfin, je dois confesser que je n’ai rien à foutre des affres de spoliation de gens qui gagnent 30 000 euros par mois. S’ils ont tellement la trouille, qu’ils lancent une pétition ! Jean-François Launay demandera-t-il à François Hollande de la relayer ? [ce genre d’attaque ad hominem, sur un sujet dont on vient de nous expliquer – faussement – qu’il n’a jamais été porté par le candidat est absurde et ce n’était d’ailleurs pas le sujet de mon article]

 

Bienvenue à Canossa !

 

Quant aux propos sur le comportement de Mélenchon à l’égard de Cuba et de la Chine, ils sentent le rance. On n’est pas obligé de chanter laudes pour Fidel Castro en regrettant que le peuple cubain soit victime d’un embargo américain, inacceptable en droit international, et cependant ignoré par le PS. Il rejoint par là Benoît XVI, qui dit comme son prédécesseur polonais que Cuba doit s’ouvrir, mais omet de demander la clef à Obama.

Cette détestation constante d’une gauche successivement qualifiée de stalinienne, anti-européenne, nationaliste, protectionniste [où ai-je employé ces termes ? c’est au bateleur et aux bogôs que je m’attaque] et pour tout dire stupidement sectaire, risque de se heurter à la réalité. Celle d’un Front de Gauche crédité d’un score à deux chiffres fin avril, et dont les électeurs deviendraient d’un coup fréquentables, voire précieux. Je dois reconnaître que François Hollande, sauf ses bêtises anticommunistes à Londres, se garde d’invectiver ses concurrents de gauche [si le tribun avait pu s'inspirer de cette attitude, cette polémique n'aurait pas eu lieu]. Certains de ses soutiens médiatiques sont moins prudents. Ils devraient se calmer en regardant une carte d’Italie. Ils y verraient que Solferino n’est pas si loin de Canossa…

 

Gilbert Dubant

 

 

Petit rappel : faire de moi  « un soutien médiatique » du candidat des primaires citoyennes me flatte, cependant je ne suis mandaté par personne et j’exprime toute l’antipathie que je ressens pour Mélenchon en dehors de toute considération tactique.

 

 

* RODOMONT Personnage du Roland furieux de l'Arioste ; son nom signifie « ronge-montagne ». Ce roi d'Alger, brave mais altier et bruyant, rejoint sur les scènes comiques la famille des capitans italiens, insolents, fanfarons et toujours prêts à se targuer d'exploits imaginaires. De là, l'utilisation du terme de rodomontades pour caractériser le comportement de ces guerroyeurs forts en parole et prompts à prendre peur.

 

**MATAMORE Personnage comique du théâtre espagnol qui a les caractéristiques du Capitan de la commedia dell'arte : hâbleur, fanfaron mais pleutre devant la moindre menace. Son nom signifie tueur de Maures ; ses origines peuvent remonter au théâtre latin, où on trouve déjà ce personnage sous les traits du miles gloriosus de Plaute. Corneille l'introduisit en France dans L'Illusion comique, et il fut assimilé par les Italiens aux côtés de Rodomont, Fracasse, Fierabras.

Ce vantard peureux est devenu un type, et le nom commun de matamore désigne ceux qui se glorifient d'exploits imaginaires (exemple "Je vais terroriser les agences de notation").

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28 mars 2012 3 28 /03 /mars /2012 07:32

 

 

Une de ces rodomontades dans lesquelles excelle l’avatar 2012 de Georges Marchais, le grand tribun Mélenchon : au-delà de 30000 euros, je prends tout ! Petit problème, le secrétaire général du PCF (principale composante de Front de gauche), Pierre Laurent, ne sait pas très bien ce qu’il veut prendre.

 

C’est chez Aphatie, le 27/03/12, sur RTL. Dès le départ, questions sur l’affaire Merah, on constate que pas plus que son père, dont il a gardé la lente diction, le camarade Laurent n'est un orateur.

Mais quand arrive la question, qu’avec A-S Jacques, d’@si, on peut qualifier de fastoche,  quelle est la mesure la plus forte du programme de Mélenchon, le malheureux commence par s’emmêler les pinceaux : « Je crois, la volonté de réduire le partage des richesses ». De l’art de dire le contraire de ce que l’on veut exprimer ! Mais il se rattrape : «réduire les inégalités, en s’attaquant au pouvoir des marchés financiers. C’est ça le cœur de notre programme. C’est ce qui traverse toutes nos propositions ». Aphatie lui objectant que c’est très vague, il précise « Je pense qu’il faut réformer la fiscalité pour la rendre vraiment progressive. Il faut que les hauts revenus soient frappés fortement (…) nous proposons de prendre tout au-dessus de 360 000 euros annuels » A Aphatie qui lui demande  360 000 € par part ou par foyer fiscal ? il a cette réponse assez inouïe « Je ne me suis pas posé la question comme cela » alors qu’en matière d’imposition c’est quand même une question basique.

 

Comme le fait remarquer A-S Jacques, ce n’est pas tout à fait la même chose par part (par exemple, au-delà d’un salaire de 30 000 € mensuels on taxe à 100%) ou par foyer fiscal où c’est le cumul des revenus qui est taxé (pour rester dans un exemple simple, deux conjoints à 15 000 € mensuels). A tout hasard, Laurent lance « Disons, par foyer fiscal ». Il semble que le programme du candidat ne soit pas, non plus, très clair là-dessus.

 

Cette mesure, le secrétaire général du PCF y croit-il vraiment ? Faudra-t-il que F. Hollande la reprenne ?  Il se contente de dire que cette proposition « continuera à vivre en ce qui nous concerne ».

 

Mélenchon donne dans l’imprécation incantatoire – en l’occurrence sur le modèle exact de Marchais qui a sorti aussi un au-delà de…, je prends tout – que même ses alliés du PC ne prennent pas trop au sérieux ; il en est presque prêt d’ailleurs à nous parler du bilan globalement positif du castrisme ou du régime Chinois. Il manie avec fougue le « casse-toi, pôv con » à sa façon, à l’encontre de l’apprenti journaliste, du militant PC ou CGT un peu trop pugnace, de la presse en général, etc. On a entendu Clémentine Autin, dans l'honni Petit Journal de Barthès (Canal+), vanter son caractère, alors qu’il n’est que caractériel !

 

PS Pour compléter, un billet de Patrick Jarreau (Le Monde 20/03/12) :

"S'il n'a pas attiré, place de la Bastille, davantage que le public escompté, Jean-Luc Mélenchon a réussi à détrôner Nicolas Sarkozy de la « une » du Figaro. Le quotidien souligne, lundi 19 mars, la progression du Front de gauche dans les sondages et la pression qu'il exerce sur François Hollande. L'UMP compte sur M. Mélenchon pour obliger le candidat socialiste à gauchir son discours et dissuader ainsi les électeurs centristes de l'élire ou de le laisser passer au second tour. Au siècle dernier, les marxistes-léninistes appelaient cela une alliance objective."

 

(C'est moi qui souligne)

 

Petit bonus : la vidéo intégrale de l'échange entre un étudiant-journaliste et Mélenchon (c'est entre les deux tours de régionales, Mélenchon évoque Le Parisien qui fait sa Une sur la réouverture ou pas de Maisons closes au lieu de parler des régionales, l'apprenti journaliste rebondit sur cette Une en demandant à Méluche ce qu'il en pense...)

 

 

 

L'épisode conté par Julien Mignot, photographe, montre que cette aptitude au mépris et à la généralisation assez inquiètante est une constante chez Mélenchon. "Dans le bus qui nous ramène de Bobigny à Paris, j'ai mon appareil sur les genoux. Il vient en face de moi. Me dit : "Qui êtes-vous ? Je ne vous faits pas confiance. Si vous me mitraillez, je m'en vais". Il a traité tous les photographes d'abrutis. Je lui fais remarquer qu'on ne lui dit pas : "Vous, les politiques vous êtes tous pourris." Il m'a répondu : "Vous me faites la leçon en plus ? Allez dégage !"  Tout le personnage est là."

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21 janvier 2011 5 21 /01 /janvier /2011 14:19

plantu-melenchonLa Gauche est grande et Mélenchon est son prophète !


Par « Gauche » entendez, Ô sociaux-traîtres, celle du Front, pas évidemment la fausse gauche du PS, ni la bouillie verte des écolos. Une gauche de gauche, pour tout dire.


Pour le Mélenchonlâtre, le postulat de base – véritable acte de foi –est simple : leur lider maximo a le droit, le devoir même, de jeter l’anathème (sur le PS, lémédias, etc.) insulter, vitupérer, donner dans l’imprécation perpétuelle ! L’insulté (mettons le socialo de base), l’anathèmisé, s’ils protestent, c’est qu’ils veulent porter atteinte à la liberté d’expression du Chavez de l’Essonne.


Le Mélenchonnien manie « pensée unique » ou « politiquement correct » aussi bien que le zemmourien (autre espèce imprécative, mais de Droite).

 

Cependant parler de populisme à propos de l’immortel auteur de « Qu’ils s’en aillent tous ! », Plantu l’a oublié, est un crime de lèse Imprecator.

Certes des hyènes de blogs (ou deblog), des laquais du grand capital, essaient de calomnier le prophète. Georges Marchais, dont le style tribunicien l’inspire, fut au moins ouvrier pendant une dizaine d’années (même si son séjour allemand pendant la guerre fut objet de controverses) avant de devenir un apparatchik d’un PCF ayant encore une vraie base ouvrière. L’ex-sénateur de l’Essonne, malgré (ou grâce à) un passé trotskyste (dans la secte la plus fermée, d’où vient aussi Jospin) a su mener sa barque au sein du PS pour devenir sénateur à 35 ans avant de lancer un « faux parti communiste avec de vrais petits bourgeois », comme disait Mitterrand, à propos du CERES ; prétendre, comme il l’affirme, qu’il est au diapason des volontés du peuple, relève plus de l’art de faire tourner les tables, que d’un fait avéré. Voilà quelques unes des médisances que distillent des langues de vipères (lubriques) ! Certaines ajoutent même – voyez leur infamie – que, comme Sarko, il croit faire peuple en « causant » vulgaire.


meluche-plantuPlantu s’est donc planté en osant comparer SuperMéchanlon avec la fille Le Pen, quant au populisme ! Avec ce sens de l’humour et de la nuance, qui fait tout son charme, Mélenchon s’indigne : "hélas Jean Plantu ne fait plus réfléchir, il aveugle" , "il contribue à la confusion politique qui, sous prétexte de lutte contre le populisme, prêche le maintien de l'ordre établi" ; un vrai DSKiste ce Plantu ! Et Pierre Laurent (qui c’est ? mais si, le lointain successeur de Marchais à la tête des restes du PCF) dénonce l’odieux amalgame.

 

 

PS1 André Gérin, qui a décidé disputer à Maxime Gremetz, dit le bête de Somme, la palme du communiste le plus archaïque, récuse Mélenchon car il le soupçonne d'être un sous-marin du PS : le çonar de l'ex-Iman rouge, doit être ultra performant pour discerner dans l'ex-taupe de l'OCI un sous-marin du PS !

 

PS2 "Ne laissons pas croire qu'il y aurait à gauche, d'un côté un chevallier blanc (le Front de Gauche), porteur de la pureté révolutionnaire, et de l'autre un chevallier noir (le PS et ses alliés) vendu au capitalisme" André Chassaigne député PCF

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